Les conséquences de leur présence sont de deux ordres :
- Défoliation des arbres entrainant un affaiblissement des sujets fortement touchés (perte de croissance et vulnérabilité plus grande aux maladies) ;
- Risques de réactions allergiques (urtications, démangeaisons, oedèmes), parfois grave, chez l’homme et les animaux domestiques. En effet, ces chenilles libèrent, à certains stades de leur développement, de nombreux poils microscopiques, sorte de petits harpons qui se fixent dans la peau. Suite à un frottement, ceux-ci se cassent et libèrent du venin provoquant des allergies. La période à risque s’étale de janvier à mai pour la processionnaire du pin et de fin mai à fin juillet pour la processionnaire du chêne.