Déclarée espèce nuisible pour la santé humaine en 2022, la chenille processionnaire n’en finit plus de progresser en France. Et la Haute-Loire n’est pas épargnée.
C’est l’histoire d’un animal de 35 à 40 mm de long, aux taches rougeâtres. Rien d’impressionnant. Pourtant, depuis plusieurs années, la chenille processionnaire n’en finit plus d’inquiéter les autorités de santé publique et environnementale.
Les raisons ? Sa capacité à ravager les aiguilles des pins et feuilles de chêne et à libérer des poils urticants pouvant affecter gravement les animaux et l’homme. L’insecte figure, depuis 2022, parmi les espèces reconnues nuisibles à la santé humaine et végétale. « C’est même le premier animal à avoir été inscrit dans cette catégorie », explique Frédéric Caray, spécialiste des espèces exotiques pour Fredon Auvergne Rhône-Alpes.
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