Les programmes précédents

Retrouvez les programmes précédents sur la gestion des cypéracées invasives en cultures légumières normandes

Programme IDEAL (2020-2023)

Ce projet s’inscrit dans la continuité de Gesti_Cyper (2018-2020)

Les actions du projet :

Mobiliser le groupe opérationnel existant pour échanger sur la problématique souchet et sur les actions définies du projet. De façon concertée, définir des leviers à intégrer pour améliorer la gestion des cypéracées invasives en système légumier.
Diagnostiquer l’évolution de l’infestation régionale.
Communiquer et sensibiliser sur la problématique et son évolution. Rechercher à préserver des zones indemnes d’infestation.
Analyser l’impact des nouvelles rotations de cultures sur le développement des souchets.
Empêcher ou enrayer la multiplication des souchets par des techniques culturales. Réduire le potentiel de viabilité du stock semencier.
Proposer et améliorer les règles de gestion des effluents de laveries et déchets produits par extraction mécanique des organes de multiplication du souchet. Renforcer la prophylaxie. Proposer des recommandations aux utilisateurs de matériel agricoles vecteurs de contamination inter parcelles.

Ce projet est cofinancé par l’Union européenne et la Région Normandie. Il a débuté le 01/01/2021 jusqu’au 31/03/2023.

voici le lien vers le site de la Commission Européenne relatif au FEADER, à mentionner sur nos sites internet (présentation du projet) :

Retrouvez les résultats du programme IDEAL :

Programme GESTI_Cyper (2018-2020)

Ce projet s’inscrit dans la continuité de Gesti_phyto de façon ciblée sur un bio agresseur à fort pouvoir invasif : le souchet comestible (Cyperus esculentus).

Sur ce bio agresseur ciblé pour son impact extrêmement fort sur la qualité et le rendement des productions légumières, le projet va contribuer à une gestion optimisée des leviers permettant d’agir sur son développement à l’échelle du bassin de production principalement infesté (Côte Ouest de la Manche) ainsi qu’en bassin plus récemment infesté (Val de Saire) et également de prévenir le risque d’infestation d’autres zones et bassins non contaminés.